13 juillet 2008
Chucky
Robin sort (enfin) d'une grosse bronchite. Le pauvre mecton devait s'enfiler dès le réveil en plus de sa vitamine et de sa toilette nasale habituelles, deux pulvérisateurs différents, du sirop, du collyre et de la cortisone... inutile de dire que ça mettait un sérieux coup à sa légendaire bonne humeur. Ajoutons à tout ça l'effet secondaire de la cortisone (non, ça ne l'a pas fait enfler façon Elvis) qui l'a speedé comme un junky accro aux amphètes, et on se retrouve avec un Robin hargneux et agressif qui envoie des coups de satons et des mandales tout en vociférant d'une voix méconnaissable. On a pas eu besoin de chercher bien longtemps pour l'affubler du sobriquet de Chucky ...
Publicité
Commentaires