Le jour d'après

En dépit d'une soirée agitée et d'une nuit morcelée entre deux lits éloignés de plus de cinquante kilomètres, notre bonhomme s'est réveillé (tôt) en pleine forme et dans d'excellentes dispositions. Enfin, c'est ce qui m'est apparu quand j'ai trouvé mon loulou quelques heures plus tard puisque ce dimanche, la maman de Robin m'a offert l'un des cadeaux les plus précieux qu'il lui est donné de pouvoir m'offrir : une grasse matinée. L'héroïque Coralie s'est en effet levée aux premiers vagissements matinaux de Robin vers 5 heures et m'a permis de rester seul au lit jusqu'à plus de neuf heures. Je crois pouvoir affirmer que depuis la naissance de Robin, je n'avais encore jamais eu ce bonheur. En revanche, le bonheur ayant un prix, Coralie a été ce dimanche d'une compagnie assez "particulière" du fait de sa fatigue et, n'ayons pas peur des mots, de son tempérament naturel. Je ne crains pas de le dire, Coralie ne lisant pas ces pages. Si je me souviens bien, elle doit avoir trois mois de retard au sujet des articles de ce blog ... ma propre femme, la mère de Robin ... "elle n'a pas le temps", faut dire qu'elle est enseignante, gnark gnark gnark. Je m'en fous, le temps qu'elle rattrape ce retard et lise ces lignes, je serai déjà loin ...

Bon, assez flingué ma femme, j'en reviens à l'humeur charmante de mon fiston ce matin là.

Une petite visite chez les grands parents de Robin l'après midi pour voir Tata Edith de passage chez eux et on regagne gentillement nos pénates pour une fin de weekend tout ce qu'il y a de plus paisible entre le ménage et Coralie qui rouspète. Ah oui, j'avais dit que j'arrêtais.